Alors que la criminalité monte en flèche, la législature cherche à faire sortir encore plus de criminels


La criminalité augmentant dans tout l’État, l’assemblée législative de New York envisage de le faire. . . fais-le pire, avec un nouveau cycle de «réforme» des libérations conditionnelles.

La semaine dernière, le président de l’Assemblée, Carl Heastie, a exprimé l’espoir d’adopter deux projets de loi de ce type avant la fin de la session le 10 juin: l’un pour faciliter le renvoi des détenus plus âgés, l’autre pour forcer la Commission des libérations conditionnelles à donner plus de poids au dossier de réadaptation des détenus en prison. qu’à leurs crimes originaux, aussi horribles soient-ils.

Cela fait suite à l’assouplissement des règles et au flux constant de nominations de gauche par le gouverneur Andrew Cuomo à la Commission des libérations conditionnelles, qui a déjà régulièrement relâché des tueurs de flics et d’enfants.

Comme le note le sénateur d’État Thomas O’Mara (R-Elmira/Ithaca), la « mentalité pro-criminelle . . . est allé trop loin et continue d’aller trop loin.

Il n’y a pas que la montée de la violence à New York et à Albany : les meurtres montent en flèche à Rochester, Syracuse et Buffalo également. Pourtant, les supermajorités démocrates à l’Assemblée et au Sénat refusent même d’envisager d’apporter la solution vitale à la désastreuse loi de non-caution, à savoir donner aux juges le pouvoir de fixer une caution pour les malfaiteurs qui présentent un danger clair pour le public et pour les récidivistes.

Et le gouverneur Cuomo est d’accord avec la folie des législateurs, même s’il insiste sur le fait que la ville doit maîtriser le crime. C’est comme si les dirigeants new-yorkais pensaient que le symbole de la justice ne devrait pas être une balance, mais une porte tournante.

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